Afin de rendre un dernier hommage à un être cher, l’organisation des ses obsèques ne doit pas se faire à la légère. Outre les bouleversements causés, nombreuses sont les questions que les proches du défunt se posent par rapport au déroulement des funérailles. Voici quelques conseils qui seront très utiles pour faire face à une telle situation difficile.
À propos du transport du corps
Si le défunt est décédé à son domicile, le corps peut y rester jusqu’aux obsèques. Sinon, la famille dispose d’un délai de 48 h au maximum pour faire le transfert. Les services de pompes funèbres sont une excellente alternative pour assurer le transport. Si le décès est survenu dans un hôpital ou dans une clinique, le corps peut être placé dans la chambre mortuaire en attendant le transport.
La préparation des paperasses
L’organisation des funérailles est précédée de la préparation des diverses paperasses administratives relatives au transfert du corps. Une autorisation délivrée par le Maire de la commune, dans laquelle le décès est survenu est nécessaire. Dans le cas où le transfert se déroule après la mise en bière, une autorisation signée par le Maire de la commune, dans laquelle la fermeture du cercueil a lieu est exigée.
La mise en bière
Il s’agit de mettre le corps du défunt à l’intérieur d’un cercueil, après des traitements de conservation réalisés par les thanatopracteurs. C’est une procédure exigée par la loi en France, qui précède l’inhumation ou la crémation. En principe, elle se passe dans les 24 heures qui suivent le décès. Pendant la mise en bière, les membres de la famille ainsi que les proches se recueillent auprès du défunt. Le cercueil peut être aussi bien fermé qu’ouvert. Quoi qu’il en soit, pour une organisation d’obsèques réussie, faites appel à une entreprise de pompes funèbres telle que Roc Eclerc.
Quel type de funérailles choisir ?
À défaut des volontés du défunt, ce sont ses proches qui se chargent de choisir le type de funérailles : l’inhumation ou la crémation.
- L’inhumation
L’inhumation est le procédé qui consiste à mettre la dépouille dans une sépulture. Dans la majorité des cas, l’enterrement se fait dans un cimetière. Ce sont des professionnels comme les pompes funèbres qui s’occupent de ces tâches. Il est à noter qu’un emplacement dans le cimetière est payant. En l’absence d’une concession funéraire, le corps du défunt peut être inhumé en terrain commun. Cependant, il s’agit d’un espace individuel qui est fourni gratuitement pour pendant 5 ans.
La sépulture peut être, par la suite, aménagée selon la volonté du défunt (s’il y a eu lieu) ou de ses proches, tout en tenant compte des règlements qui régissent un cimetière communal.
- La crémation
La crémation, quant à elle, consiste à brûler le corps d’un défunt pour le rendre en cendres. Une fois le processus de crémation achevé, le cercueil est également incinéré dans un crématorium. Les cendres sont ensuite recueillies dans une urne funéraire. Dans certains pays et pour certaines croyances, celles-ci font l’objet d’un rituel.
Quel type de cérémonie choisir ?
Le départ d’un proche est généralement honoré par une cérémonie qui contribue à la perpétuation de son souvenir, et surtout pour soulager la blessure du deuil. Selon les souhaits du défunt ou ceux de ses proches, deux options sont disponibles : la cérémonie religieuse et la cérémonie laïque ou civile.
- La cérémonie religieuse
Ce type de cérémonie applique les rituels exigés par la religion que le défunt a pratiquée. Les étapes à suivre peuvent se différer d’une appartenance religieuse à une autre. Pour en savoir plus, il faut se renseigner auprès de l’autorité religieuse concernée.
- La cérémonie laïque ou civile
C’est un style de funérailles personnalisable. Il est possible de lire des textes, des discours ou même des poèmes pour rendre hommage au disparu. Ses musiques préférées sont jouées, et des films ou des photos sont projetés. Il y a ceux qui vont jusqu’à mettre en place un livre d’or dans lequel les personnes présentes pourront recueillir leurs bons souvenirs ou faire des témoignages.